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30 novembre 2017

Est-ce qu'un jour on participera enfin à un vrai conseil municipal ? On peut rêver… c'est bientôt Noël !



Pas encore complètement découragés après la réunion du 26 septembre 2017, Christine et Olivier ont adressé le 12 octobre par courriel une série de questions à M. le maire afin de comprendre à posteriori le transfert des agents communaux à la CDC.
En réponse, le mail de M. le maire était plus proche de l'insulte que d'une prose officielle et loin d'un esprit démocratique d'information. Aucune réponse aux questions posées !
Une certitude, M. Grégori termine son mail en précisant ʺ Dorénavant je ne répondrai plus à vos questions ʺ !
D'autre part, il disait impossible de prévenir les conseillers avant le vendredi après-midi pour la réunion de conseil du mardi soir.
En début de séance de ce mardi 21 novembre, courageusement Christine et Olivier reposent ces questions restées sans réponse et démontrent au conseil que cette décision du transfert des agents à la CDC a été prise sans information aux conseillers et donc sans réelle réflexion.
De plus, il n'est pas possible d'approuver cette délibération fausse puisqu’elle s'appuie uniquement sur une convention obsolète le 30 septembre 2017 et qui ne traite que des mois de juillet, août et septembre.
Les échanges qui suivront resteront embrouillés et ne feront que donner raison à notre équipe.
M. le maire n'apportera qu’une explication claire à propos du délai de convocation des conseillers. Il tient absolument à la présence de la secrétaire de mairie et comme le mari de cette dernière ne connaît son emploi du temps que le vendredi, il lui est donc impossible de prévenir les conseillers plus tôt... En voilà une explication qu'elle est bonne !

20 novembre 2017

Prochaine réunion de conseil municipal: mardi 21 novembre 20h30

A l'ordre du jour:
- Approbation du compte-rendu de la séance du 26 septembre 2017,

- Taxe d'aménagement,
- Suppression et création de poste,
- Décision modificative budgétaire n°3 - budget principal
- Durée d'amortissement,
- Pôle de santé multi-sites,
 - Servitude,

- Questions diverses.

6 novembre 2017

203 000 €uros : Voilà un combat qui s'achève !



Les conclusions du Tribunal Administratif de Caen ce vendredi 3 novembre, mettent fin à notre long combat pour essayer de comprendre le “trou des 203 000 €uros” creusé de 2008 à 2013 !

Durant plus de 4 années de lutte, nous avons obligé le maire à nous remettre à contrecœur, une partie des documents qui nous ont permis de donner un éclairage nouveau sur le “trou de 203 000 €uros” de M. Barbier, maire de la précédente mandature, dont M. Grégori maire actuel était l'adjoint.

Notre 1ère demande d'accès aux documents nous l'avons faite le 24 janvier 2014...1er refus !
Nous renouvelons notre demande le 29 mars 2014... 2ème refus !
Nous interrogeons la CADA, qui nous donne raison le 24 juin 2014.
Le 24 septembre 2014, M. Grégori cède enfin et nous adresse une série de documents.
Il en manque ! Et M. Grégori refuse de nous recevoir pour nous donner quelques explications et faire le point.
Nous sommes obligés de retourner devant le Tribunal Administratif qui nous donne raison le 8 octobre 2015... M. Grégori attendra la dernière minute, le 8 janvier 2016 pour nous adresser des documents complémentaires.
L'analyse de ces documents disparates, dont les sommes ne se recoupent pas toujours et où apparaissent des incohérences, nous obligent à un dernier recours auprès du Tribunal Administratif, pour enfin obtenir un tableau plus clair chiffré mois par mois des dépenses des arrêts maladie de 2008 à 2013 comprenant leur éventuel remboursement. Tableau que nous réclamons depuis 2014 !

Le 3 novembre 2017, le Tribunal Administratif rejette notre demande. Il juge que nous avons toute l'information demandée en recoupant tous les documents fournis par le maire.
Malgré, ce dernier refus, tous les autres documents susceptibles de faire la lumière sur ces 203 000 €uros auraient pu nous être communiqués par M. Barbier dès le début de notre demande, ou par sa relève, M. Grégori.
TOUT CITOYEN DE CETON AVAIT BIEN LE DROIT DE CONSULTER LES DOCUMENTS !
En refusant la communication de ces documents, M. Barbier souhaitait-il cacher une éventuelle responsabilité? Et en freinant leur communication, M. Grégori cherchait-il, lui, à cacher son éventuelle complicité ?